Rachid ELAÏDI
A Disturbance in the Force
Le problème qui se pose toujours dans les conférences ou des réunions d'ordre international, où encore la langue de compréhension est plusieurs, est le problème qui se pose entre l'interprétariat et la traduction. Le premier cas dépend de la capacité intellectuelle de l'interprète et donc il est susceptible de commettre des erreurs et, à coup sûr. Le second cas, est la bibliothèque des vocabulaires dont le traducteur dispose, l'erreur dans ce cas de figure , est fonction de l'inadéquation du mot utilisé. Par exemple au sein de l'Union européenne, dans l'interprétation(la commission européenne ,le parlement européen ou le conseil de l'UE) existe toujours des erreurs et la compréhension ne se fait ou se complète que par le document écrit,car la vérification étant faite . Or tout ne se traduit pas en écrit(le midday press ou les stepdoor...), le pourcentage de l'erreur baisse ,énormément mais des erreurs persistent d'où beaucoup de textes trouvent toujours des litiges entre les décideurs politiques et ,même l'interprétation donne plusieurs sens et tous les analystes ou qui ont trait à l'information se confondent dans la compréhension et donc la mise en application est perturbée. Par contre, le traducteur ne se trompe pas et la vitesse de la traduction se fait presque instantanée, néanmoins c'est le récepteur (le public) qui doit trouver le sens à cette traduction brute si le traducteur ne donne pas les mots adéquats.
Entre les deux cas ,existe la compréhension et la maitrise de la langue par ceux qui ont la charge de faire ce travail d'intermédiaire d'où les conditions d'embauche ou du recyclage devrait être sévère et non fonction de la situation de l'emploi à faire travailler n'importe qui . Sinon ,le résultat de ces embauches au hasard donne la situation des diplômés de l'Égypte ou des pays arabes sous les différentes dictatures sans un réel niveau ou encore loin du nouveau exigé ,c'est pour cette raison ,entre autres, le vent de la démocratie arabe est très bénéfique pour une nouvelle construction d'une société arabe basée sur la transparence ,à condition , que les démocrates arabes se libèrent des influences des anciens systèmes dictatoriaux . Donc , il devrait y exister une instance du contrôle des interprètes et des traducteurs;quand le texte écrit suit, l'interprète donne une image,sinon c'est le traducteur. Mais , une meilleure transmission d'une langue à une autre est qu'il existe un enregistrement pour qu'il y est une vérification de la part du public et pourquoi pas un logiciel qui écrit ce qui est dit,sous contrôle pour qu'il y est une responsabilité assumée par ceux qui organisent le débat,l'institution. RE08HGMT17
Entre les deux cas ,existe la compréhension et la maitrise de la langue par ceux qui ont la charge de faire ce travail d'intermédiaire d'où les conditions d'embauche ou du recyclage devrait être sévère et non fonction de la situation de l'emploi à faire travailler n'importe qui . Sinon ,le résultat de ces embauches au hasard donne la situation des diplômés de l'Égypte ou des pays arabes sous les différentes dictatures sans un réel niveau ou encore loin du nouveau exigé ,c'est pour cette raison ,entre autres, le vent de la démocratie arabe est très bénéfique pour une nouvelle construction d'une société arabe basée sur la transparence ,à condition , que les démocrates arabes se libèrent des influences des anciens systèmes dictatoriaux . Donc , il devrait y exister une instance du contrôle des interprètes et des traducteurs;quand le texte écrit suit, l'interprète donne une image,sinon c'est le traducteur. Mais , une meilleure transmission d'une langue à une autre est qu'il existe un enregistrement pour qu'il y est une vérification de la part du public et pourquoi pas un logiciel qui écrit ce qui est dit,sous contrôle pour qu'il y est une responsabilité assumée par ceux qui organisent le débat,l'institution. RE08HGMT17