Various interesting things in French : documentaries, etc.

One thing that struck me about the close-up videos of the blinking eyes is that when you look at them frame by frame, in almost all cases, there is an image that is a fade between two images. It's the fact that it's fast that makes us interpret it as a movement when in fact there is no movement. These are obviously fakes, and old fakes because today we can create intermediate images in a credible way, but not at that time.
 
Excellent petit montage de 2 minutes qui m'a tellement plu et fait rigoler que je me le suis repassé 3x - et comme il vaut mieux en rire qu'en pleurer, lachez-vous ^^ :lol:
 
Yes, indeed, I posted this link a bit too impulsively, before having finished viewing it.

Well, I have great doubts (if not skepticism) about the "lizard eyes" as showed in the video !
We're in the area of "deep fake", a technology (known for at least 5 years) using AI to fake any video from a few photos of someone, for instance an humoristic example mocking Macron and Brigitte :
So, why not editing a video of any human and put some morphing to a reptile or cat eyes ?

I didn't know this author ("Prune" ?) before, but after viewing a few of her videos, where you can find a mix of some interesting things/infos, and some intox or mistakes (like... flat Earth, for instance !), well to me it seems that she transmits some knowledge but with many distortions, same as most new agey people talking about dimensions or densities without the required intellectual rigour.
Maybe that's because they're too limited, or because they're on their path of truth seekers, or maybe that's part of a "damage control" operation to "obfuscate" the domain.

To conclude, I feel a bit unconfortable about having posted that, but well, by making mistake one can learn... ;-)
I think it's not black & white. There's perhaps some truth behind these smokescreen. I'm thinking about genetic. Does some people on earth have tampered/mixed genetic coming from 4D? Certainly from what we know but what are the real results? Hard to say.

Very long time ago I posted in the forum a link to a Youtube video of a girl who had cat pupils. She was working as a waitress and she was filmed with her permission doing her job. It was hard to think it was a fake but who knows for sure.
 
J’ai reçu cette réponse, je ne lis pas l’anglais et le vieil ordinateur de Maman refuse de le traduire en FRANCAIS...
Qu’en pensez vous ?

J’ai reçu cette réponse, je ne lis pas l’anglais et le vieil ordinateur de maman refuse de la traduire en FRANÇAIS...
Qu’en penses-tu?


 
Je me suis mal exprimée, concernant l'article ci-dessus de Sott France sur Facebook,
j'ai reçu la réponse suivante et vous demandais ce que vous en pensiez ?...

Jocelyne Halbert
Si je considère que Mister MacLeod est Ecossais, qu'il parle couramment l'Anglais et qu'il s'est spécialisé dans l'investigation des merdias, y'a un blème - il reste dans le politiquement correct pour continuer à beurrer ses tartines, peut-être ? Donc, ne disposant que d'une curiosité sans limites et une passion pour les puzzles, il est évident que nous n'avons pas les mêmes sources... universitaires. Il aurait suffi à l'auteur de retracer le dernier RESET, pas à pas, pièce par pièce, et de stationner un moment à 1909 et à une de mes découvertes dans la langue de Shakespeare...
Nota - La CEO de FB est une 'soldate' du WEF (l'école Young Global Leaders). Comme Sarko, comme Macron, comme Zelenskyy, comme Trudeau... Evidemment, Klaus Schwab est lui-même sur collier étrangleur et laisse tenue par Rockefeller !
https://aim4truth.org/.../government-by-journalism-is.../

Government by Journalism is Pilgrims’ Propaganda to Control the World

AIM4TRUTH.ORG
Government by Journalism is Pilgrims’ Propaganda to Control the World
https://aim4truth.org/2022/06/28/go...tmSUbUcP9yRUILYFvV7zI_w67NvxZhPb9huMWBRuC_eBo
 
Sur the Pilgrins Society il y a de l'information à Wikipédia. Je n'ai jamais entendu parler de cet organisme.


Ça m'a l'air d'un groupe de gens qui se réunissent, tout-puissants, genre les Bilderberg. Tu pourrais peut-être demander, à la personne qui t'a envoyé l'article, s'il n'y aurait pas de l'information en français ?

De toutes façons, en cherchant, j'ai trouvé cette information en français.

 
Last edited:
Un vidéo intéressante : La fin des mensonges
"D’origine française, russe et géorgienne, Alexandre Havard vit à Moscou depuis une quinzaine d’années. Diplômé en droit, il a exercé le métier d’avocat avant de se consacrer au développement du système du Leadership Vertueux : une approche du leadership fondée sur la science de la vertu élaborée par les anciens Grecs.
Lors de notre entretien, Alexandre Havard a évoqué les grands défis auxquels notre civilisation est confrontée, dépeignant une société peuplée d’êtres pusillanimes, esclaves de leurs désirs et de leurs passions, où la vertu, la transcendance et l’altruisme ont laissé place au relativisme, au consumérisme et à l’individualisme. « Le principal problème est anthropologique, nous ne savons plus du tout ce qu'est l'Homme. Les principes de la nature humaine n'existent plus. C'est le subjectivisme, l’individualisme total à tous les niveaux. [...] Il n’y a plus de ratio, plus de logos, plus de dialogue, plus de vérité objective. Il reste la sensiblerie, l'émotivité, la soif de pouvoir. » « Les gens n’ont plus aucun point de référence, c'est la confusion la plus absolue.
Dans l'idéologie libérale, on emploie des mots qui signifient exactement l'inverse. On vit le système orwellien. Chez Orwell, les gens ne se rendent même plus compte qu'ils sont dans un totalitarisme », ajoute-t-il. Inspiré par la vie et les réflexions du dissident soviétique Alexandre Soljenitsyne, le fondateur du système du Leadership Vertueux est revenu sur le discours prononcé par l’écrivain russe à l’université de Harvard en 1978, dans lequel il fustige le déclin du courage parmi les intellectuels occidentaux et le rejet de toute spiritualité au profit d’une conception purement légaliste de la vie. « La civilisation occidentale fait trop confiance au droit. On pense qu'avec le droit on peut régler tous les problèmes, parce qu'on règle le problème des institutions. Mais le droit ne règle pas le problème de l'Homme.
Si, dans les institutions, on a des individus qui ne respectent pas les principes de la nature humaine, on aboutit à un totalitarisme masqué beaucoup plus dangereux qu'un totalitarisme démasqué », souligne A. Havard. « Beaucoup de gens pensent qu'ils sont superbes, remarquables, démocrates, amoureux de l'humanité, que ce sont de grands humanistes. Et le jour où ils sont face à eux-mêmes, ils se rendent compte que c'est une mascarade, que cela n’a rien à voir avec la vérité sur eux-mêmes. [...]. Ils vont passer des moments terribles car c'est le temps de la vérité », poursuit-il. « Toute cette façade juridique que l'on appelle la démocratie va bientôt s'effondrer complètement, et on verra la réalité de nos propres yeux. Cette réalité, c'est le chaos qui règne dans le cœur des gens parce qu’ils ont cessé d’être des Hommes. »
Selon lui, les temps troublés que nous vivons aujourd’hui sont pourtant une occasion de renouer avec notre nature profonde et d’élever notre conception de la vie. « Tout peut arriver à n'importe quel moment et beaucoup plus rapidement qu'on ne le pense. Les choses les plus terribles peuvent nous arriver, mais il faut prendre cette réalité comme une occasion extraordinaire de grandeur, une occasion de développer les vertus et de faire un effort de transformation personnelle. C'est maintenant le moment d'agir. »
Et Alexandre Havard de conclure : « La vie n'est pas une fin en soi. Il y a des idées, des réalités pour lesquelles ça vaut la peine de mourir. Il y a des choses qui sont au-dessus de la vie : la Vérité, le Bien, l'Amour, la Beauté. Ma vie n'a de sens que dans la mesure où elle est au service de ces choses qui sont au-dessus de moi. » Retrouvez l’analyse intégrale d’Alexandre Havard dans la vidéo."

Of French, Russian and Georgian origin, Alexandre Havard has been living in Moscow for the past fifteen years. A law graduate, he worked as a lawyer before devoting himself to the development of the Virtuous Leadership system: an approach to leadership based on the science of virtue developed by the ancient Greeks.

During our interview, Alexandre Havard spoke about the great challenges facing our civilization, depicting a society populated by pusillanimous beings, slaves to their desires and passions, where virtue, transcendence and altruism have given way to relativism, consumerism and individualism.

"The main problem is anthropological, we no longer know what Man is. The principles of human nature no longer exist. It is subjectivism, total individualism at all levels. [...] There is no more ratio, no more logos, no more dialogue, no more objective truth. What is left is sentimentality, emotionalism, and a thirst for power."

"People no longer have any point of reference, it is the most absolute confusion. In the liberal ideology, words are used that mean exactly the opposite. We are living the Orwellian system. In Orwell, people don't even realize that they are in a totalitarian system," he adds.

Inspired by the life and thoughts of the Soviet dissident Alexander Solzhenitsyn, the founder of the Virtuous Leadership system revisited the Russian writer's speech at Harvard University in 1978, in which he criticized the decline of courage among Western intellectuals and the rejection of all spirituality in favor of a purely legalistic conception of life.

"Western civilization puts too much faith in law. We think that with the law we can solve all problems, because we solve the problem of institutions. But the law does not solve the problem of Man. If, in the institutions, we have individuals who do not respect the principles of human nature, we end up with a masked totalitarianism that is much more dangerous than an unmasked totalitarianism", underlines A. Havard.

"Many people think that they are superb, remarkable, democrats, lovers of humanity, that they are great humanists. And the day they come face to face with themselves, they realize that it is a masquerade, that it has nothing to do with the truth about themselves. [...]. They're going to have a terrible time because it's time for the truth," he continues.

"This whole legal facade called democracy will soon collapse completely, and we will see the reality with our own eyes. That reality is the chaos in people's hearts because they have stopped being Men."

According to him, the troubled times we live in today are nevertheless an opportunity to reconnect with our deepest nature and to elevate our conception of life.

"Anything can happen at any time and much faster than we think. The most terrible things can happen to us, but we must take this reality as an extraordinary opportunity for greatness, an opportunity to develop virtues and to make an effort at personal transformation. Now is the time to act.

And Alexandre Havard concludes: "Life is not an end in itself. There are ideas, realities that are worth dying for. There are things that are above life: Truth, Good, Love, Beauty. My life has meaning only insofar as it serves these things that are above me."
 
Une hypnose régressive avec Mattieu Monade. C'est vraiment très intéressant ce qu'ils disent sur les énergies, spécialement les énergies concentrées dans des situations comme dans un camp de football, dans un Mondial de soccer. Ça fait réfléchir.

It's really interesting what they say about energies, especially the energies concentrated in situations like in a soccer camp, in a soccer World Cup. It makes you think.
 
La rumeur avait commencé à courir il y a quelques jours, elle est à présent une information : Klaus Schwab, nouvel ami des hommes et de la planète réunis, a fait savoir qu’il faudrait désormais exterminer les chiens et les chats qui sont responsables du changement climatique.
Il aurait pu dire, « de la propagation du virus », mais c’est passé de mode. Désormais, l'ennemi c’est « l’empreinte carbone », et tuer nos meilleurs compagnons va régler le problème.


Quand on imagine le pire, on est la plupart du temps encore loin du compte. Ces gens-là ont infiniment plus d’imagination que nous et ils repoussent tous les jours les limites de l’abjection.
Si vous ne le croyez pas, voyez ici :

Klaus Schwab veut abattre les chiens et les chats

Eh bien, figurez-vous que tonton Klaus n’a rien inventé. D’autres amis des hommes ont déjà avancé cette solution abominable pour régler d’autres problèmes tout aussi vitaux. C’était pendant la Révolution.


Le 21 janvier 1793 ne fut pas seulement le jour de la mort du roi Louis XVI, exécuté place de la Révolution, qu’on appelle aujourd’hui La Concorde.
Alors que le couperet tombait sur le col du souverain, un homme venait de mourir dans un tripot du Palais-Royal, ce qui allait donner lieu à un déchaînement d’hystérie patriotique susceptible de détourner l’attention.
Pour ceux qui ne connaissent pas Paris, le Palais-royal est une demeure princière située en plein cœur de la capitale, dotée d'un beau jardin clos entouré de boutiques et de restaurants.
Michel Lepeletier de Saint-Fargeau, très riche aristocrate qui émargeait à la gauche de la gauche avec son ami Robespierre, y avait été assassiné la veille au soir alors qu'il terminait de dîner. Un certain Nicolas Pâris lui avait demandé s’il avait bien voté la mort du roi et, à sa réponse, lui avait passé son épée à travers le corps.

On tenait là le premier martyr de la République, et la Convention inventa pour ses obsèques, qui eurent lieu trois jours plus tard, une pompe et un faste absolument ridicules.

Puis le Comité de sûreté générale, entièrement renouvelé pour l’occasion, et en ardent défenseur de la Nation, convoqua tous les commissaires de quartier et tous les juges de paix pour organiser avec eux une descente domiciliaire dans le quartier. On n’allait pas ainsi laisser filer l’assassin qui pouvait encore se trouver sur place !
Une semaine après son forfait, il eût été bien bête !
Qu’importe, les commissaires et les juges eurent beau protester contre cette infamie (on fit signer aux récalcitrants leur refus d’obtempérer), à 8h du soir, le 27 janvier, la troupe boucla le quartier, installa des canons, et procéda à des centaines d’arrestations sous le commandement du général Santerre, celui qui avait couvert de son tambour les ultimes paroles que le souverain avait tenté d’adresser au peuple..
Chacun était prié de montrer sa carte civique (une nouveauté républicaine), on ramassa sans distinction les passants, les gens qui sortaient du spectacle ou rentraient chez eux, puis les soldats se ruèrent dans les appartements du quartier. Ils fouillèrent les logements, les magasins, les boutiques, les arrière-cours, les caves et les greniers, et firent descendre dans le jardin plusieurs milliers d’hommes, de femmes et d’enfants qui passèrent la nuit là à grelotter, tandis qu’on visitait leurs logements à grands coups de pieds, sans égard pour les vieillards alités ou les femmes en couches.
Une fois que tous les appartements eurent été visités, on vit dix mille paisibles citoyens partir en deux colonnes entre deux haies de gardes pour une ultime vérification d’identité. On en trouva cent qui ne purent prouver qui ils étaient, on ignore ce qu’ils sont devenus. Les autres rentrèrent se coucher en claquant des dents.
Enfin, après avoir fait arrêter un journaliste et un libraire, coupables d’avoir mal écrit sur les événements du temps, un homme qu’on avait surpris à pleurer en racontant ce qu’il avait vu à la prison du Temple et une femme qui avait eu l’audace de dire qu’on avait sacrifié le roi, le Comité de sûreté général alla rendre compte de ses exploits à la toute puissante Commune de Paris, nouveau gouvernement de la France.
Tout fier de son expédition contre les habitants du Palais-royal, Santerre vint proposer une solution à la disette, endémique depuis le début de la révolution. Il avait fait le calcul qu’en exterminant tous les chiens et les chats, on économiserait au moins cent sacs de farine par jour, et il se proposait de se charger de la chose.
On est en droit de s’ébaubir devant tant de sollicitude pour la population parisienne. Car quoi, il est de fait que le pain manquait (il n’était pas question de rétablir la police des grains, institution royale honnie !), alors faute d’en trouver plus, il suffisait d’en dépenser moins.

Quelle idée de génie : faire la chasse aux compagnons fidèles, entrer, encore, dans les maisons et les massacrer malgré les hurlements des familles, les poursuivre dans les rues, dans les caves, dans les greniers, enfin partout où ces affameurs du pauvre monde pouvaient se cacher.

Santerre se surpassait. Il avait plusieurs fois montré de quoi il était capable, notamment pendant les massacres de Septembre qu’il laissa se dérouler sans intervenir, alors que la garde nationale dont il était le chef pouvait les arrêter par sa simple présence sur les lieux.

Ce n’est pas par respect pour la vie des bêtes, ni pour les sentiments d’amour que leurs maîtres leur portent, que le général ne put mener à bien son projet d'exterminer les meilleurs amis des hommes. C’est qu’on lui fit remarquer que, quand il en aurait terminé, il lui faudrait commencer une autre campagne contre les rats et les souris, autrement plus difficile celle-là.

Qui arrêtera le plan diabolique de Klaus Schwab ?

Source : le récit ici rapporté est tiré de "Histoire impartiale des révolutions" de l'excellent Louis-Marie Prudhomme, journaliste digne de ce nom, contemporain et témoin des événements.
 
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