Séance du 7 janvier 1996

Jacques

SuperModerator
Moderator
FOTCM Member
Thanks to the members of the French translation group who have just translated that session.

Please post your comments in the original session: Session 7 January 1996

Merci aux membres de l'équipe française pour cette traduction.
___________________________________________________________________________________________

Séance du 7 janvier 1996

Participants : «Frank», Laura, Pat Z

Q : (L) Bonjour.

R : Oups !

Q : (L) Et qui avons-nous ce soir ?

R : Turrin.

Q : (L) Et d’où transmettez-vous ?

R : Cassiopée.

Q : (L) Nous avons Pat avec nous ce soir…

R : Bonjour, Pat.

Q : (L) Maintenant que nous sommes tous réunis ici, nous voudrions savoir pourquoi les boomerangs noirs volants ont surgi la soirée où j’ai mis Pat sous hypnose pour la première fois.

R : Examinez soigneusement le problème.

Q : (L) La première chose qui nous est venue à l’esprit est que, même si ce type de vaisseau n’est pas forcément rare, on ne l’observe quand même pas souvent, et donc l’événement en lui-même est rare… Est-ce exact ?

R : Il est rare.

Q : (L) S’il est rare que cela se produise en réponse à une séance d’hypnose, à quelle personne s’intéressaient en particulier ces ovnis ?

R : Ce n’était pas une personne, mais les informations enfouies dans le subconscient de Patricia.

Q : (L) Est-ce qu’ils voulaient obtenir ces informations ?

R : Non. Surveiller ce qui serait révélé.

Q : (L) Ça veut dire que Pat détient des informations qui ont été programmées en elle avant sa naissance, et auxquelles elle a besoin d’accéder ?

R : Non. Abductions.

Q : (L) Ils voulaient voir si quelque chose allait être révélé sur les enlèvements qu’ils avaient commis sur elle ?

R : Oui.

Q : (L) D’accord. Puisqu’elle est ici, pouvons-nous savoir qui l’a enlevée ?

R : Les Gris.

Q : (L) Combien de fois a-t-elle été enlevée ?

R : 4. La scène dans la neige n’était que de 3e densité.

Q : (P) Est-ce que cela signifie que la scène dans la neige n’a eu lieu que dans ce monde-ci ?

R : Non. L’enlèvement qui s’est produit là était strictement physique.

Q : (L) OK. L’enlèvement qui a eu lieu dans la neige était un enlèvement physique. Peut-être que les autres ne l’étaient pas. Étaient-ils physiques aussi ?

R : Les autres étaient de 4e densité. Les enlèvements de 3e densité sont rares et loin d’être anodins.

Q : (L) Qu’est-ce qui est loin d’être anodin dans cette abduction ?

R : Revois.

Q : (P) Est-ce que mon fils a été enlevé aussi ?

R : Figé.

Q : (L) Pourquoi voulaient-ils Pat au point de l’enlever physiquement ?

R : Des idées ?

Q : (L) Oui. Peut-être que Pat possède certaines connaissances dont elle pourrait se servir contre ces êtres ?

R : Mais la véritable raison est plus fondamentale.

Q : (L) Ont-ils enlevé Pat pour lui prélever des ovules ?

R : Non.

Q : (L) Pour prendre son énergie ?

R : Voulez-vous apprendre ou jouer au jeu des « 20 questions » ?

Q  : (L) J’aimerais apprendre et savoir le fin mot de l’histoire.

R : Tu as répondu à ta propre question tout à l’heure.

Q : (L) Parce qu’elle possédait des informations qu’ils voulaient obtenir ?

R : Non, non, non.

Q : (L) Qu’est-ce que j’ai dit ?

R : Médiatisation.

Q : (L) Ah ! Ils craignent qu’elle n’agisse de sorte à les démasquer…

R : Liens avec le gouvernement !

Q : (L) Oh ! Je parlais justement tout à l’heure des gens dont les proches travaillent pour le gouvernement et je disais qu’ils ont tendance à se faire enlever plus souvent. Mais le fait que Pat soit mariée à un scientifique qui travaillait au JPL ne veut pas dire qu’elle-même était au courant de quoi que ce soit. Sait-elle quelque chose ?

R : Ce n’est pas ce qu’elle savait.

Q : (L) Est-ce à cause de l’endroit où elle vivait ?

R : À cause de la proximité avec les activités du Consortium.

Q : (P) Ces activités avaient-elles lieu dans le tunnel ?

R : Implantée pour possible activation dans le futur.

Q : (L) Donc, à cause de ta proximité et de tes interactions avec les gens vivant autour de toi, tu as reçu un implant destiné à te contrôler si nécessaire. (P) Est-ce que c’est lié à ce qui se passait sous la montagne ? (L) Quelle montagne ? Qu’est-ce qu’il y a sous la montagne ? (P) Demande.

R : Pas le lieu ; c’est le personnel dont il est question.

Q : (L) OK, ce n’était pas tant l’endroit où tu te trouvais que les gens avec qui tu étais en contact.

R : Oui.

Q : (L) Est-ce que c’était son mari ?

R : Peut-être.

Q : (L) C’est peut-être pour ça qu’il y a un taux plus élevé d’enlèvements dans les familles dont certains membres travaillent pour le gouvernement. Pour qu’ils puissent être activés ou contrôlés ? (P) Mais mon mari ne travaillait pas vraiment sur quoi que ce soit de secret.

R : Il avait accès à des installations sensibles.

Q : (L) Avait-il une habilitation de sécurité ou bien était-il ami avec d’autres personnes qui en avaient ? (P) Moi aussi j’avais une habilitation de sécurité. (L) Donc, Pat a reçu un implant. Un vrai implant physique. Où se trouve-t-il ?

R : Derrière la cavité sinusienne.

Q : (L) Qu’est-ce que cet implant est censé faire ?

R : Activer des réflexes de contrôle comportemental, générer des modes de pensée ou les altérer.

Q : (P) Et c’est à cause de ça que je ne me souviens de rien ?

R : Dans une certaine mesure.

Q : (L) As-tu déjà eu des maux de tête ou des problèmes au nez ou aux oreilles ? (P) Non, mais j’ai vraiment un gros problème de mémoire. (L) À quoi est dû en majeure partie le problème de mémoire de Pat ? Pouvez-vous nous en dire plus ?

R : Non.

Q : (L) Donc, est-ce qu’on peut dire que le soir où Pat était sous hypnose, cet ovni est apparu au-dessus de ma maison pour renforcer son implant, afin qu’elle…

R : Pour surveiller.

Q : (L) Si Pat avait révélé les détails de son enlèvement, y aurait-il eu des répercussions ?

R : Pas dans ce cas-ci.

Q : (L) Y a-t-il des cas où les révélations des abductés ont provoqué des répercussions ?

R : Varié.

Q : (L) Donc, peu importe l’hypnothérapeute auquel Pat se serait adressée : ces vaisseaux seraient apparus de toute façon ?

R : Oui.

Q : (L) Vous nous avez déjà dit que c’était extrêmement rare. Pat a-t-elle vécu une abduction d’importance inhabituelle ?

R : 3e densité.

Q : (L) OK, quoi d’autre d’inhabituel ?

R : Découvrez.

Q : (P) Est-ce que ça a quelque chose à voir avec Camp David ?

R : Pas Camp David ; son personnel !

Q : (L) Connaissais-tu quelqu’un ? Est-ce parce qu’elle connaissait ou interagissait avec quelqu’un en particulier ?

R : Beaucoup d’autres !

Q : (P) Si je citais des noms, pourrions-nous finir par trouver ?

R : Pas nécessaire.

Q : (L) Bon, apparemment, il y a un problème qu’il nous faut cerner ici. (P) Est-ce que les avions ont quelque chose à voir avec ça ?

R : Tout dépend de Pat : dans quelle mesure elle souhaite recouvrer et divulguer les souvenirs liés aux nombreuses expériences anormales qu’elle a vécues et auxquelles elle a réagi avec une indifférence anormale.

Q : (P) La première chose étrange était la situation géographique de notre maison. Directement à l’ouest, il y avait la montagne qui abritait tous les appareils de communication prévus en cas de guerre nucléaire. Nous nous trouvions à 20~km au nord de Camp David. Et durant la période où nous avons vécu là, nombre d’événements d’importance mondiale ont eu lieu à Camp David. Nous avons construit une grange en 1982. Nous avions acheté la maison en 1976, mais jamais je n’avais remarqué ces avions avant la construction de la grange. Avec un bâton dans la main, j’aurais pu les toucher, tellement ils volaient bas. Juste au-dessus de ma grange. Les mêmes jours, chaque semaine. Ils volaient toujours par deux et ne portaient jamais aucune marque d’identification. C’étaient des avions à hélices. Je me demandais : «Comment se fait-il que dans ce pays, on fasse survoler cette zone par des avions à hélices sans marque d’identification, et à très basse altitude ?» Ça a continué jusqu’à ce que nous déménagions. Ces avions passaient deux fois par semaine ; de 1982 à 1989. (L) C’était quoi, ces avions ?

R : Cherche et apprends.

Q : (L) Bon, manifestement, nous devons en discuter pour développer nos neurones. (P) Eh bien, au bout de quelques semaines, j’ai fini par me dire : «Tiens, voilà les avions». Rien de nouveau, quoi.

R : Indifférence.

Q : (P) Je pensais que ces avions avaient un rapport avec la montagne. C’était le cas ?

R : Peut-être.

Q : (P) Nous savions qu’ils passaient incognito. Maintenant que j’y pense, personne d’autre n’a jamais parlé de ces avions. C’était comme si nous étions les seuls à les voir, nous ou ceux qui se trouvaient chez nous quand ils passaient. Ma meilleure amie, qui habitait juste en haut de la rue, ne les a jamais vus. Lorsque je lui demandais : «Est-ce que tu as vu les avions ?», elle me répondait : «Quels avions ?» Je veux dire, elle habitait à moins d’un kilomètre à vol d’oiseau !

R : Les expériences anormales s’accumulent !

Q : (P) Vic aussi remarquait des choses, et en général il disait — il était moins indifférent que moi — il disait : «Mais bon sang, qu’est-ce que c’est que ces avions, qu’est-ce qu’ils fichent ?» (L) Pourquoi Pat était-elle aussi indifférente ? (P) Eh bien, ça n’affectait pas ma vie à moi — sauf que ça perturbait mes chevaux, ce qui me rendait dingue. Mais les chevaux ont fini par s’y habituer eux aussi, et ils sont devenus indifférents ! [Rires] Ces avions passaient tellement souvent, deux fois par semaine — «C’est mercredi, les avions vont passer !»

R : Poursuis… continue à creuser…

Q : (P) Les avions volaient d’est en ouest, et à l’ouest, il y avait la montagne…

R : Catoctin.

Q : (P) C’est le nom de la montagne. (L) Qu’est-ce que c’est ? (P) Le tunnel où se trouvaient toutes ces installations… sous Catoctin Mountain. Camp David n’est pas loin.

R : Et CE N’EST PAS TOUT ! Mount Weather, en Virginie. Pourquoi as-tu vécu dans cette région… les hélicoptères ?

Q : (P) Est-ce à cause de Fort Detrick ?

R : Qu’est-ce qui t’a amenée dans le Maryland ?

Q : (P) Fort Detrick. (L) Qu’est-ce qu’il y a, à Mount Weather ? (P) Le tunnel souterrain — tout le monde en ville l’appelait «le Tunnel», mais il n’y avait absolument rien là-bas qui aurait pu indiquer de quoi il s’agissait. En fait, je vivais dans la région depuis longtemps déjà quand j’ai appris son existence. Et au sommet de la montagne, il y avait une station météorologique… (L) Mais qu’en est-il de Fort Detrick ? (P) Vic s’occupait de microscopie électronique — dans le cadre de recherches sur le cancer.

R : VRAIMENT ?

Q : (P) C’était un laboratoire photographique. (L) Les instruments au sommet de la montagne ont-ils un quelconque rapport avec ces avions ?

R : Et donc ?

Q : (L) Y a-t-il un rapport avec ces antennes qu’on dit liées à ce projet qui altère l’espace-temps ?

R : Et les hélicoptères, Pat ? Nous te posons la question !

Q : (P) Eh bien, les hélicoptères de Frederick survolaient notre maison à chaque fois que le président se trouvait à Camp David. Mais ça, c’était notre maison à Walkersville, pas à Emmitsburg. Quand nous avons déménagé dans le Maryland pour la première fois. Parfois, les hélicoptères ne portaient aucune marque…

R : Vous voyez, Pat est résistante à cause de ses expériences ; il n’y a pas grand-chose qui la «perturbe», la programmation, etc.

Q : (L) Donc, tout ce qui se passait autour d’elle, les avions, la montagne, les hélicoptères… (P) Mais pour les hélicoptères, je savais que c’était le président qui soit arrivait, soit quittait Camp David.

R : Résistante, pas «en train de résister».

Q : (L) Le mot «résistante» est-il un indice ?

R : Tout est indice, ici !

Q : (L) Puisque Pat n’a été enlevée que 4 fois, cela peut-il vouloir dire qu’elle résiste aux abductions ?

R : Non.

Q : (P) N’est-ce pas simplement dû à ma personnalité ? Au fait que si ça ne m’affecte pas, je ne m’en soucie pas ?

R : Oui.

Q : (P) Je ne me soucie pas des choses qui…

R : Tirez sur quelqu’un devant Pat, et elle vous dira : «Oh, bah, c’est la vie !». Pour accéder à des informations spectaculaires, il faut être patient et creuser en profondeur ; pas de jugements hâtifs, s’il vous plaît !! Il y a tant à extraire, révéler, étudier.

Q : (P) Eh bien, les hélicoptères faisaient des allées et venues à Camp David. Le président était censé se trouver dedans. Ainsi que son entourage. Il n’y avait que 3 hélicoptères. (L) C’est de ces hélicoptères dont vous parlez ?

R : Non. Laissez Pat digérer tout ça, et revenez nous en parler plus tard.

Q : (L) Le soir de la vague d’ovnis dans le voisinage, lorsque Pat était en séance chez moi, pourquoi y a-t-il eu autant de témoins ?

R : La fenêtre était «grande ouverte».

Q : (L) Y a-t-il un vaisseau au-dessus de nous en ce moment ?

R : ?

Q : (L) Bon, le magazine est prêt à sortir et les articles sont pour le moins polémiques. Pouvez-vous nous indiquer si ce numéro suscitera ou non des réactions positives ?

R : Tu verras bien.

Q : (L) Sera-t-il possible de «canaliser» en ligne comme Mike Lindemann a suggéré de le faire ?

R : Bien sûr !

Q : (L) Pat a de gros problèmes en ce moment ; pouvez-vous l’aider ?

R : Le partage en réseau, ça marche !!!

Q : (P) Y a-t-il une lumière au bout du tunnel ?

R : Le partage en réseau, ça marche !!!!!

Q : (L) Donc, si elle s’implique dans un réseau quelconque, ses problèmes se résoudront ?

R : À ton avis, c’est quoi le partage en réseau, Laura ?

Q : (L) Eh bien, c’est ce que nous faisons… (P) Comment un réseau peut-il faciliter un contrat fédéral ?

R : Partage des idées, demande aux autres leurs expériences et opinions.

Q : (L) Pat dit que son magasin ne peut pas subvenir au salaire de trois personnes. Et son affaire de transcription fédérale a capoté puisque le budget est épuisé et que le Congrès n’en a pas voté un nouveau.

R : Quel mal y a-t-il à rechercher hargneusement des contrats gouvernementaux, qu’as-tu à perdre ? Même si cela échoue totalement, qu’auras-tu perdu ? Si quelqu’un a cette aptitude dans les affaires, l’ultime conseil est de se diversifier, pas d’exclure ; autrement dit, «ne rien négliger» !! Suggérons de chercher un travail gouvernemental national ou local comme solution tampon. Le partage en réseau marche, Pat, tu as toujours résolu les dilemmes, tu te mets en «pilotage automatique» lors de crises, alors pourquoi demandes-tu ?

Q : (L) Pouvez-vous nous donner une idée de la date à laquelle cette bataille budgétaire va se terminer ?

R : Est sur le point de prendre fin. Lundi la machine se remettra en marche, même s’il faudra un moment avant qu’elle ne tourne à nouveau à plein régime. Les commandes en suspens créent des opportunités.

Q : (P) Mais les commandes en suspens ne peuvent démarrer tant que le budget n’est pas voté et signé.

R : Arrivera rapidement. Tu dois te concentrer sur le redressement de ta situation personnelle.

Q : (P) Qu’est-ce que ça veut dire ? (L) Ça veut dire que tu dois te concentrer là-dessus avant de pouvoir faire autre chose.

R : Mercure rétrograde favorise les continuités, pas les démarrages.

Q : (P) Je voudrais en savoir plus sur les apparitions de la Vierge Marie à Conyers, en Géorgie, ainsi que sur le livre Message de Marie à l’humanité et tous les autres messages sur la fin des temps qui surgissent un peu partout.

R : Les forces à l’œuvre ici sont bien trop malines pour être percées à jour aussi facilement. On ne sait jamais à quelles manœuvres détournées elles vont avoir recours ; elles sont au courant de vos modèles prophétiques et philosophiques, et changent constamment de direction pour tromper et décourager ceux qui croient en des futurs fixés d’avance.

Q : (L) Autre chose pour ce soir ?

R : Au revoir.

Fin de la séance
 
Back
Top Bottom