Je recherche... (en français) / I'm looking for... (in French)

Bastian

The Living Force
Hello / Bonjour.

This thread is intended to help each other to find (again) some material in French, whether it would be in this forum, on SOTT or in Laura's (and associates') books.

Ce fil est créé dans l'intention de nous entr'aider à (re)trouver du matériel en français, que ce soit sur ce forum, sur SOTT ou dans les livres de Laura (ou de ses « associés »).

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(Real) Example / Exemple (réel) :

I'm looking for Laura's text (in French) explaining why it's counter-productive (STS-aligning) to "send love" for peace on Earth and so on. I cannot remember in which volume of the Wave it's adressed. If if exists in a digital format anywhere, that would be better. May anyone help me to find it again ?

Je recherche le texte de Laura (en Français) expliquant pourquoi il est contre-productif (alignant sur le SdS) « d'envoyer de l'amour » pour la paix sur Terre etc. Je n'arrive pas à me souvenir dans quel tome de l'Onde c'est abordé. S'il existe en format numérique quelque part, ce serait encore mieux. Quelqu'un peut-il m'aider à le retrouver ?
 
Is it this excerpt that you are looking for, maybe ? It's on the second volume of The Wave. And there are other parts that may interest you.

Serait-ce cet extrait que tu cherches, peut-être ? Il est tiré du deuxième tome de l'Onde. Et il y a d'autres parties qui pourraient t'intéresser.

Notre esprit, obscurci par les « voiles des causes secondaires » ou la « réalité matérielle », ne parvient pas à connaître le fond des choses. Au lieu de quoi notre raison veut souvent que la chose soit la substance. Ce qui est beau et plaît à nos sens, nous le pensons en général beau et agréable en son essence. Le contraste entre les desserts riches, qui font grossir, et les légumes, qui sont sains et nutritifs, en est un exemple. La même règle s’applique, dans la vie, aux événements et aux relations. Les affaires et les personnalités s’interpénètrent, se mélangent et se fondent les unes avec les autres de telle manière qu’il est difficile de faire la part des choses entre ce que nous en percevons et ce qu’elles sont fondamentalement. Mais telle est notre tâche.

Notre tâche est de déterminer les attributs de tout et tous ceux qui font partie de notre expérience, afin de voir la « lumière de l’invisible », et la « lumière de la connaissance qui éloigne de notre âme les ténèbres de l’ignorance ».

Il nous faut revenir à la question de cette « compréhension du karma, de choses simples ». Que signifie donner « à chacun son dû » ?

Où que l’on se tourne, on contemple toujours le visage de Dieu.

Lorsque j’ai vu les ténèbres, l’horreur de la réalité dans laquelle nous vivons, j’ai vu l’un des visages de Dieu.

En arabe, « visage » signifie parfois « essence » ou « réalité ». Dire que Dieu tourne Son visage vers quelqu’un signifie qu’Il lui manifeste Sa réalité par la découverte de soi-même.

Si le seul Visage de Dieu que vous CHOISISSEZ de voir est le visage du « bien et de l’amour », l’autre visage ne cesse pas pour autant d’exister – il est simplement devenu le 3e homme que vous ne pouvez pas voir, et qui agira dans votre vie de bien des manières que vous ne pourrez pas comprendre. C’est un peu comme quand on est « amoureux » d’une personne dont on tente de changer certains traits, ou de les « tolérer ». Si apprendre à aimer suppose un amour inconditionnel, comment peut-on prétendre aimer une personne en particulier s’il existe quelque chose, chez elle, qu’on n’aime pas ? Dans ce cas, on N’AIME PAS VRAIMENT LA PERSONNE POUR CE QU’ELLE EST. Ce dont on est amoureux, c’est de l’IMAGE QU’ON SE FAIT de la personne, non de la personne en elle-même. L’on pourrait dire que, en un sens, c’est de soi que l’on est amoureux, puisque l’on a « créé » l’image de ce que « l’être aimé » devrait être. Ceci s’applique aussi à l’« amour de Dieu ». Comment pouvons-nous L’AIMER si nous refusons complètement la MOITIE de son essence ? Si nous nous faisons juges et parties de ce qui est acceptable et « bien » dans l’univers, dans l’existence, chez DIEU ?

Sachez que l’amour ne peut absorber les amants en totalité, à moins que leur amour ne soit pour Dieu ou pour quelqu’un qui leur ressemble. Aucun autre amour ne peut absorber un être humain en totalité. Dans ce cas, il n’y a rien, chez celui qui aime, qui ne trouve sa contrepartie dans l’être aimé. Il ne reste rien d’autre... Sa part extérieure est sous le charme de la part extérieure de l’être aimé et sa part intérieure est sous le charme de la part intérieure de l’être aimé. Ne voyez-vous pas que Dieu se nomme à la fois Manifesté et Non-Manifesté ? C’est pourquoi l’amour de Dieu et l’amour de ses semblables absorbent l’homme entièrement.


Dieu est à l’origine de tous les « traits de caractère nobles ». Il est aussi à l’origine de tous les « traits de caractère vils ».

Ayant été créé sous une forme divine, l’homme embrasse tous les divins noms et contient en lui-même tous les traits de caractère de Dieu. La tâche du voyageur en quête de spiritualité est de porter les noms et traits de caractère, depuis l’état de latence, vers l’existence dans un équilibre et une harmonie parfaits. Tous les traits de caractère, tant nobles que vils, qui se manifestent en l’homme lui sont innés. Ils lui appartiennent en réalité, et non métaphoriquement ou à titre de prêt. De même, Dieu possède tous les noms par lesquels Il se nomme Lui-même, y compris la création, le don de la vie, la mise à mort, la retenue et le don, la fabrication, la duperie, la perfidie, la moquerie, la dérision, le décret, le rire, la réjouissance, l’émerveillement, l’acceptation dans la joie, l’humiliation, le pardon, la vengeance, la miséricorde, la colère, etc.

Vivre en refusant le droit à l’existence des « traits de caractère vils », ou prétendus tels, les considérer comme une « erreur » ou une « rébellion », une « tromperie démoniaque », c’est nier une moitié de l’existence, une moitié de Dieu – le rejeter, ne PAS l’aimer, n’aimer que ce que le mental humain limité considère comme « acceptable » et « haïr » ce qui n’est pas « agréable » et désirable pour le confort de la chair ; et c’est aimer subjectivement que de n’aimer que la part de soi qui est « acceptable ». C’est là un point crucial : S’ACCEPTER soi-même dans tous ses aspects.

Cela ne signifie PAS que l’on « manifeste » chacun des traits de caractère négatifs, cela signifie que l’on accepte, aime et essaie toujours de choisir de manifester les traits de caractère nobles et de canaliser les traits vils de manière productive. Aimer objectivement tout ce qui EST, inconditionnellement, aussi bien la lumière que les ténèbres, et ne JAMAIS interférer avec le libre arbitre d’autrui quant à ce qu’il choisit de faire ou d’être, s’il l’estime approprié, constitue l’une des clés, l’une de ces « compréhensions simples ».
Bien sûr, cela signifie en même temps refuser de laisser violer son propre libre arbitre. Dans de tels cas, il ne faut pas agir « contre » autrui, il faut simplement agir « en faveur de sa propre destinée ».

[...]

Mais tout cela laisse de côté un point essentiel, à savoir qu’il s’agit, en fin de compte, d’un CHOIX. Comme l’ont dit les Cassiopéens, le libre arbitre est la plus importante des lois de la Création.
19/09/98
Q : (L) Bien. Venons-en à ce commentaire [d’un correspondant qui déclare] : « Certains commentaires de Laura à propos de l’amour m’ont désorienté. Je ne comprends pas comment donner de l’amour quand on ne nous en demande pas peut se révéler plus néfaste que bénéfique. » Quel est votre point de vue à ce sujet ?
R : « Donner » de l’amour n’est pas donner, dans un tel cas.
Q : (L) Donc, si on donne de l’amour quand on ne nous l’a pas demandé, en fait on ne donne PAS ?
R : Vous prenez, comme d’habitude.
Q: (L) Quand vous dites qu’on « prend », que prend-on, au juste ?
R : De l’énergie, « façon » SDS.
Q : (L) Comment peut-on prendre de l’énergie à quelqu’un en lui donnant de l’amour sans qu’il l’ait demandé ?
R : Parce qu’un vecteur SDS ne devient pas SDA en déterminant les besoins d’autrui.
Q : (L) Je ne comprends pas en quoi cela signifie prendre de l’énergie...
R : Parce que cet acte est un acte d’auto-gratification. Si vous « donnez » sans qu’on vous l’ait demandé, donc sans besoin, il y a viol du libre arbitre ! Comment appeler cela autrement dans ce scénario ?!? Réfléchis-y avec beaucoup de soin et d’objectivité.
Q : (L) J’imagine que, dans un tel scénario, si l’on donne de l’amour à quelqu’un qui ne l’a pas demandé, cela ressemble à un désir de changer l’autre, c’est-à-dire à un désir de contrôle.
R : C’est exactement ça !!
Q : (L) Le correspondant ajoute : « Tout est leçon, et si une personne choisit un chemin particulier, elle doit pouvoir le suivre et apprendre à sa manière. Mais supposons que cela arrive à quelqu’un que nous aimons vraiment. Et supposons que cette personne se trouve dans une période de sa vie où ses pensées pourraient l’amener à commettre, disons, un meurtre. Ne pensez-vous pas que si l’on envoie de l’amour à cette personne, même inconsciemment, cela pourrait produire l’énergie (l’influence) nécessaire à empêcher ce meurtre ? » Commentez, je vous prie.
R : Non, non, non !!! Le résultat – à supposer qu’il y en ait un – d’un tel transfert d’énergie pourrait même aggraver les choses.
Q : (L) En quoi ?
R : Des ondes instables pourraient être dirigées vers le destinataire.
Q : (L) Je crois que le mot qu’il a utilisé est un indice révélateur : « Ne pensez-vous pas que si l’on envoie de l’amour à cette personne, cela pourrait produire l’énergie nécessaire » – et le mot « influence », qui implique le contrôle du comportement de l’autre personne, est mis entre parenthèses – « à empêcher ce meurtre ». Il semble donc y avoir un désir de régir les actes d’une autre personne.
R : Oui.
Q : (L) Mais son intention est totalement bienveillante, puisqu’il veut empêcher un meurtre, ce qui équivaut à sauver une vie, et en même temps empêcher que la personne aimée ne soit envoyée en prison. Enfin, il SEMBLE avoir une intention bienveillante. N’est-ce pas différent, dans ce cas ?
R : Aurions-nous oublié le karma ?
Q : (L) Eh bien, j’ai mentionné le fait qu’on ne peut pas toujours juger les situations, parce que nous ne savons pas. Nous ne pouvons pas savoir. Il se pourrait que la victime du meurtre potentiel soit une sorte d’Adolf HITLER ou l’un de ses parents, ou quelque chose du genre, et que ce meurtre sauve de nombreuses autres vies, ou bien que ce meurtre soit dû à une interaction karmique essentielle entre le meurtrier et sa victime. Nous sommes tout simplement incapables de SAVOIR ces choses ou de les juger.
R : Oui.
Q : (L) Le correspondant dit : « Je crois que si nous n’envoyons pas d’énergie d’amour au monde, l’énergie SDS égocentrique dominera. »
R : Pourquoi choisir d’en envoyer ? Pour quel motif ?
Q : (L) Pour que la situation se conforme à l’idée qu’on se fait de l’ordre des choses. Pour la contrôler et qu’elle corresponde à la manière dont on pense que les choses devraient être.
R : Exactement. Mais ce n’est pas aux étudiants d’être les architectes de leur école.
Q : (L) Donc, quand on cherche à exercer ou imposer une influence, quelle qu’elle soit, on essaie en fait de jouer le rôle de Dieu, et on prend sur soi de décider que quelque chose cloche dans l’univers, et de vouloir le réparer, ce qui revient à émettre un jugement.
R : Oui. Vois-tu, on peut donner des conseils : c’est une bonne chose, mais il ne faut pas essayer de changer la leçon.
Q : (L) Le correspondant dit encore : « Je crois qu’un être éclairé répand de l’amour autour de lui, où qu’il se trouve, et cela sans qu’on lui en fasse la demande. C’est ainsi, parce que cette personne est amour ». Commentez, je vous prie.
R : Un être éclairé n’est pas amour, et un réfrigérateur n’est pas une autoroute.
Q : (L) Quoi ?! Vous et vos métaphores bizarres ! Là je ne comprends pas !
R : Et pourquoi ?
Q : (L) Ces deux choses n’ont absolument rien à voir !
R : C’est exact !!!
Q :(L) Qu’EST-ce qu’un être éclairé ?
R : C’est un être éclairé.
Q : (L) Quels sont les critères pour devenir un être éclairé ?
R : Être éclairé !
Q : (L) Quand on est éclairé, à quel profil correspond-on ?
R : Cela ne mène nulle part, parce que tu veux faire entrer « une cheville ronde dans un trou carré », comme on dit.
Q : (L) J’essaie de me faire une idée de ce qu’est un être éclairé. Ce correspondant et un TAS d’autres gens pensent qu’un être éclairé EST AMOUR, et que c’est ce qu’il irradie, et que c’est un des effets de l’illumination.
R : Non, non, non, non, non. « Éclairé » ne veut pas dire « bon », mais seulement : « fin ».
Q : (L) D’accord. Alors, il y a des êtres éclairés SDS, et des êtres éclairés SDA ?
R : Oui. Nous pensons que la proportion globale est de cinquante – cinquante.
Q : (L) Bon. Quel est le profil d’un être SDA éclairé ?
R : C’est un être intelligent qui ne fait que donner.
Q : (L) Eh bien, puisque nous avons réglé son sort à l’idée de ne pas donner d’amour à ceux qui n’en demandent pas, que donnent-ils et à qui le donnent-ils ?
R : Tout, à ceux qui le demandent.
Q : (L) D’accord. Un membre du groupe lui a répondu : « Je te remercie, E***, d’avoir souligné le paradoxe du concept relatif à l’expression de l’amour entre ce que disent les Cassiopéens et ce que certains d’entre nous croient savoir, mais qu’ils ne SAVENT qu’en fonction de leur expérience. » J’ai le sentiment que c’est sans doute très dur, pour les Cassiopéens, de bien faire comprendre ça dans notre 3e densité ou dimension. [...]
(S) C’est un paradoxe, que j’exprimerais comme ça : si l’on répand naturellement de l’amour sur l’Univers, ce n’est pas un amour n’est pas consciemment limité ou dirigé – du moins en ce qui me concerne ; c’est simplement la plupart du « temps », pour certains d’entre nous, notre manière d’être. Exclure des groupes ou des individus, ça, je ne peux pas le comprendre. Et puis, ça gâcherait mon expérience de don d’amour, c’est sûr. À moins que l’on soit bodhisattva , l’amour est probablement plus intense lorsqu’il est dirigé vers un individu en particulier. Comment peut-on savoir si le destinataire est prêt à/capable de le recevoir ? [...] « Recevoir » est, je pense, le mot-clé : le destinataire choisi peut soit ignorer, soit refuser, l’énergie d’amour – au choix.
R : Oui.
Q : (L) S’il s’AGIT bien d’« énergie d’amour », celle-ci est-elle par la suite corrompue par les SDS ?
R : C’est possible.
Q : (S) « Donner de l’amour à l’univers » est peut-être la meilleure façon de faire en général, mais, si on se concentre sur un être aimé et que cela PEUT avoir un effet, pourrait-on obtenir le MÊME effet en se concentrant sur l’Univers en général ?
R : L’univers est équilibre, nous l’avons assez dit !

Je voudrais souligner quelques points en particulier dans l’entretien ci-dessus :
Parce qu’un vecteur SDS ne devient pas SDA en déterminant les besoins d’autrui.

Et puis,

Le résultat – à supposer qu’il y en ait un – d’un tel transfert d’énergie pourrait même aggraver les choses... Le destinataire pourrait s’attirer des ondes instables...
C’est, je pense, la conclusion qu’on peut en tirer. « Ce n’est PAS en déterminant les besoins d’autrui qu’un vecteur SDS devient un apprenti SDA » – parce qu’au fond, c’est poser un JUGEMENT.

Je voudrais préciser ici que se forger une opinion, discerner, choisir qui l’on veut fréquenter, avec qui on souhaite ou non s’associer, qui aimer ou non – bref, ces choix du quotidien qui sont des pseudo-jugements et qui nous font culpabiliser parce qu’on se dit que choisir, c’est juger – tout cela n’a RIEN à voir avec un quelconque « jugement » : ces choix, ces opinions sont du « discernement » et, comme tels, nécessaires.

Qu’est-ce que juger ? C’est déterminer les besoins d’une autre personne, et AGIR ensuite sur cette base. Cela conduit à « envoyer » une sorte d’énergie – qu’il s’agisse « d’amour et de lumière » ou de « tendre l’autre joue », ou prêcher pour « sauver quelqu’un » – et tout cela revient à « déterminer les besoins d’autrui », à faire quelque chose sans y avoir été invité au niveau de l’âme.

Il est vrai que nombreux sont ceux qui manipulent dans le but d’obtenir de l’« énergie ». Cela n’est pas demander. Mendier, implorer, agir de façon à éveiller la pitié, se montrer désarmé ou incapable de se gérer, ou d’une maladresse systématique, ces attitudes sont toutes des façons de prendre de l’énergie. Se laisser manipuler et répondre à de telles formes de persuasion, à quoi cela aboutit-il ?

... Le résultat – à supposer qu’il y en ait un – d’un tel transfert d’énergie pourrait même aggraver les choses... Le destinataire pourrait s’attirer des ondes instables... »
Cela signifie très concrètement que sur cette Terre, une grande partie des activités qui passent pour des « actes bienveillants » NOURRISSENT en fait la hiérarchie SDS. Cela revient plutôt à une relation d’« interdépendance ». L’on ne peut pas vous abuser sans votre consentement. Il y a plus : toute activité destinée à « sauver » tel ou tel groupe, à « bombarder d’amour et de lumière la Terre entière et ses habitants » ne peut qu’accroître la négativité, les ténèbres, et renforcer le système de contrôle, parce que, sans y avoir été invité, ou en agissant « contre » la volonté de ceux qui ont choisi de tromper, contrôler, désinformer, nous violons leur libre arbitre, même si nous nourrissons de « bonnes » intentions. Ils se nourrissent ainsi de notre énergie, et accroissent leur énergie pour le Service de soi.

Nous désirons tous « épargner » à ceux que nous aimons les erreurs de jugement ou d’action. Nous mourons tous un peu à l’intérieur de nous-mêmes lorsque nous voyons nos enfants suivre un chemin qui peut, dans des cas extrêmes, les conduire à la mort. Mais en vérité, nous ne pouvons que leur donner des conseils ; nous ne pouvons pas AGIR à l’encontre de leurs choix s’ils ont atteint l’âge de la « majorité ». Mais nous échouons pour la plupart, parce que nous ne comprenons pas à quel point désarroi et appels à la pitié « masquent » tout cela.

Combien de fois avez-vous été « trompé » ou « poignardé dans le dos » par quelqu’un qui vous faisait pitié, et à qui vous avez consacré de votre temps, procuré de l’énergie, de l’argent, un toit, de la nourriture, des vêtements ou autre ? Plus d’une fois, c’est ça ? Sans doute. Qui plus est, ces gens semblent améliorer leur sort et prospérer en manipulant toujours plus de monde, en devenant toujours plus fortes grâce à l’argent et à l’énergie qu’elles tirent d’autrui. N’est-ce pas curieux ? Et que nos religions nous enseignent-elles ? À « pardonner et à oublier », à « tendre l’autre joue », à « donner encore un peu », à en redemander ! Nous nous enfermons dans des relations ou des situations parce que nous « sommes désolés » pour quelqu’un. Quand nous tentons de nous en extraire, nous observons que le « niveau d’apitoiement » augmente subitement, et que les pleurs et grincements de dents deviennent assourdissants !
 
Chu said:
Is it this excerpt that you are looking for, maybe ? It's on the second volume of The Wave. And there are other parts that may interest you.

Serait-ce cet extrait que tu cherches, peut-être ? Il est tiré du deuxième tome de l'Onde. Et il y a d'autres parties qui pourraient t'intéresser.
Yes, that's exactly it. Thank you so much for your quick answer !

Oui, c'est exactement ça. Merci bcp pour cette réponse rapide !
 
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